Le char Jeanne d’Arc
Le char Jeanne d’Arc est le symbole des terribles combats pour la libération de la ville de Marseille. Il repose désormais face à la Bonne Mère qu’il était venu délivrer, à l’endroit même où il fut détruit un matin d’août 1944.
Les cartes postales anciennes, popularisées dès la fin du XIXème siècle, constituent une mine de renseignements sur la vie et l’environnement qu’ont connus nos ancêtres et nos parents. Elles constituent les supports idéaux pour évoquer dans cette rubrique, différents faits et événements qui ont jalonné le siècle dernier, à Marseille et ailleurs.
Le char Jeanne d’Arc est le symbole des terribles combats pour la libération de la ville de Marseille. Il repose désormais face à la Bonne Mère qu’il était venu délivrer, à l’endroit même où il fut détruit un matin d’août 1944.
Vitrine de du promoteur immobilier La Savoisienne, l’immeuble du Saint Georges symbolise l’audace et l’imagination architecturale de l’après guerre. Haut de 66 mètres, il proposait à sa livraison, outre 222 logements, une église, une salle de spectacle, une école, un restaurant et un hôtel.
Le mardi 9 octobre 1934, le roi Alexandre 1er de Yougoslavie, le ministre français des affaires étrangères Louis Barthou trouvent la mort, au cours d’un attentat perpétré en pleine Canebière. Plusieurs autres victimes paient de leur vie l’affolement qui s’en suit.
Lorsque le mardi 28 février 2oo6, les bulldozers démolissent la brasserie du 82, Corniche Kennedy, après des années de palabres, procédures et procès, c’est une institution chère à nombre de marseillais et de touristes qui disparait à jamais, sous les yeux de Zidane…
Le 8 mai 2024, la flamme olympique arrive à Marseille à bord du trois mats, le Bélem. Elle rejoindra ensuite la capitale après un long parcours à travers le pays. L’occasion pour la Marsiale, d’aborder la représentation des jeux olympiques en France par les cartes postales.
A la suite de notre article sur le télescaphe, paru initialement sur le site vieux-marseille.com, nous avons reçu beaucoup de témoignages. Certains d’entre eux font état d’incidents survenus lors d’une plongée en télécabine.
Dans les années 60, deux montagnards se sont donnés rendez-vous à Marseille avec une idée folle en tête: celle de construire le premier téléphérique sous-marin du monde, accessible à tous, de jour comme de nuit. Ainsi naquit la légende du télescaphe.
Le Géant Casino de la Valentine, le plus ancien Hyper Casino de France, a définitivement fermé ses portes le 30 avril 2024. Son ouverture en 1970, avait constitué un tel événement que même les cartes postales s’étaient emparées du sujet.
Chez Fonfon, Chez Jeannot et l’Épuisette: trois restaurants emblématiques et indissociables du pittoresque port de pêche du Vallon des Auffes. S’ils figurent, par leur ancienneté, dans le paysage de multiples cartes postales consacrées au port, ils ont également bénéficié de cartes spécifiques.
Le tunnel du Rove est un canal maritime sous-terrain de sept kilomètres qui relie la Méditerranée à l’étang de Berre. Inauguré en 1927, son exploitation cesse en 1963, à la suite d’un éboulement. Depuis, tous les projets de réhabilitation vont inexorablement tomber à l’eau.
La place Castellane a hébergé très longtemps l’obélisque qui trône actuellement sur le rond point de Mazargues. Puis, la fontaine Cantini lui a succédé. Sculptée par André-Joseph Allar en collaboration avec Jules Cantini, elle est devenue indissociable de la place.
L’actuelle Canebière était à l’origine composée de trois parties bien distinctes, dont l’une, celle qui prend sa source au Vieux-Port, était nommée rue Cannebière avec deux « N ». Les cartes postales anciennes ont parfaitement accompagné ce changement de dénomination.
Jusqu’en 2010, la rue de Rome a hébergé l’une des plus anciennes boutiques de la ville: le confiseur chocolatier Dromel Ainé. Depuis 1760, cette enseigne a su traverser les siècles afin de proposer aux marseillais et étrangers venus pour l’occasion, leurs spécialités « maison »
Rien de tel qu’une vue aérienne du palais Longchamp pour apprécier la beauté et la majestuosité des lieux qui ne peuvent, en effet, se résumer à la seule œuvre architecturale d’Espérandieu. Et cela, les éditeurs de cartes postales l’avaient bien compris.